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De Franse musicoloog Olivier Fourès staat stil bij het normatieve in de kunst, en bedenkt zich het volgende:
"A priori, le Monde serait régi par un ordre. Des lois 'universelles', des sympathies (et antipathies) chimiques, des 'nécessités' biologiques, voire d'autres volontés divines, constitueraient les règles du jeu.
Pourtant, aussi 'logique' qu'il soit, le Monde n'est manifestement pas juste. Sérieux paradoxe. Une incompatibilité conceptuelle devant laquelle s'insurge l'intelligence de l'humanité: la science et la spiritualité se chargent de découvrir de nouvelles règles, l'art et la religion, quant à eux, ne craignent guère de s'en créer de propres. L'art se distinguant toutefois en ceci: il ne prend pas longtemps ses dogmes au sérieux.
En vérité, l'art n'aspire pas à l'ordre: il ne l'utilise que pour mieux observer l'intelligible, pour le mettre en valeur. Il suffit de se référer aux histoires de l'harmonie tonale ou de la perspective, règles artistiques adaptées, manipulées, voir moquées dès leurs apparitions."
Hij doet dit in zijn inleiding tot Matteis. False Consonances of Melancholy, een cd waarin Amandine Beyer het oeuvre verkent van ene Nicola Matteis, een Napolitaan die leefde ergens tussen 1650 en 1700 en vooral carrière maakte - voorzover daarvan sprake - in Londen. De innemende violiste leer je best kennen in dit filmpje, waarin ze haar viooltechniek bij de interpretatie van Matteis toelicht. Zoals Matteis het zelf uitdrukte: "You must not play allwayes alike, but somtimes Lowd and sometimes softly, according to your fancy, and if you meet with any Melancholy notes, you must touch them sweet and delicately".
Als je wat melancholie ontmoet, ga dan er zacht en delicaat mee om. Een wijze raad...
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